L’espace reconquis, la prise de possession du vide, la transparence au sens vrai du terme.
ADA c’est Adelaida, jeune femme passionnée qui ne déviera jamais de son amour inconditionnel pour Van ; elle est sans doute la figure la plus constante du roman majeur de Nabokov auquel elle donne son nom.
ADA de ppfff traduira sans concession les passions, les doutes, les peurs, les beautés, les efforts, les talents plus ou moins accomplis de tous les musiciens du monde, de toutes les époques, se faisant oublier, en disparaissant aussitôt que vous direz « musique s’il vous plait !»
Après tout, son modèle littéraire, sous une apparente désinvolture, est experte en chrysalides et en traductions, actrice aussi un temps, et animée d’un désir, celui sans doute qui justifie le titre du roman : Ada ou l’ardeur.
ADA, c’est l’espace reconquis, la prise de possession du vide, ré-habité en permanence, plaçant l’auditeur face aux interprètes aimés ou en lien direct avec les générateurs sonores alambiqués de la musique actuelle, selon l’instant culturel ou ludique ou onirique ou dansant que vous choisissez.
ADA c’est la transparence au sens vrai du terme.
Un talent particulier
Nous avons voulu ADA avenante, sobre et avons réduit au mieux ses dimensions pour qu’elle puisse s’intégrer dans tout type de pièce, qu’elle n’exigera ni petite, ni grande, car ADA sait s’exprimer sur les instants les plus subliminaux, comme sur les plus exaltés.
Bien sûr, formes et dimensions tiennent à la technologie complexe et aux raffinements techniques rares, voire uniques, que dissimule l’apparente simplicité de l’objet.
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